FAQ (Foire aux questions)

Aide téléphonique, par courriel et par clavardage, test de grossesse, aide au choix, accompagnement, relation d’aide, référence et information. Tous nos services sont gratuits, confidentiels, bilingues et pro-choix. Nous offrons également des activités de sensibilisation et de prévention. Clique ici pour en savoir davantage.

Pour une rencontre afin de passer un test de grossesse, pour de l’aide au choix ou pour de la relation d’aide, appelle-nous ou écris-nous et il nous fera plaisir de trouver un moment avec toi. Clique ici pour nous joindre.

Afin d’assurer un service confidentiel, notre adresse n’est pas divulguée. Contacte-nous pour avoir plus d’information.

Non. Tous nos services sont gratuits et nous ne demandons pas la carte d’assurance maladie, puisque nous n’offrons pas de soins de santé. À
SOS Grossesse Estrie, nous sommes des intervenantes et non des professionnelles de la santé.

Non. Par souci de confidentialité, nous ne demandons pas l’âge ni le nom de la personne qui nous contacte. De plus, nous n’offrons pas de soins de santé. À SOS Grossesse Estrie, nous sommes des intervenantes et non des professionnelles de la santé.

Nos services sont offerts en français principalement. Toutefois, nos services peuvent également être offerts en anglais. Au besoin, si la personne qui nous contacte ne parle ni français, ni anglais, nous pourrions faire appel aux services d’un.e interprète.

La directrice générale de l’organisme est chargée de s’assurer de la protection des renseignements personnels. Pour toutes questions, commentaires ou une plainte liée à notre traitement des renseignements personnels, vous pouvez la contacter par téléphone (819-822-1147) ou par la poste (SOS Grossesse Estrie, C.P. 224, Sherbrooke (Québec), J1H 5H8).

Les spermatozoïdes ne peuvent pas traverser les vêtements. S’il n’y a pas eu de contacts ou de frottements directs entre leurs organes génitaux (frottements pénis-vulve ou pénis-vagin), il n’y a pas de risque de grossesse.

Oui. Si aucune méthode contraceptive n’a été utilisée, les risques de grossesse sont élevés. Il est possible de se procurer la pilule d’urgence jusqu’à 5 jours maximum après une relation sexuelle à risque pour prévenir une grossesse. Toutefois, elle n’est pas sûre à 100%, mais plus elle est prise tôt après la relation, plus elle est efficace. Il est aussi possible d’utiliser le stérilet d’urgence jusqu’à 7 jours après la relation sexuelle à risque. Clique ici pour savoir quoi faire.

Oui. Il est possible de devenir enceinte lors d’une relation sexuelle sans pénétration. Un contact ou un frottement entre le pénis et la vulve ou l’entrée du vagin peut être suffisant pour mener à une grossesse, car le liquide pré-éjaculatoire peut contenir des spermatozoïdes et ceux-ci n’ont pas besoin d’être déposés dans le fond du vagin pour causer une grossesse. Il est donc important de mettre un condom AVANT d’avoir un contact génital afin d’être protégé.e des grossesses imprévues et des ITSS.

Oui. Il est possible de devenir enceinte à tout moment du cycle menstruel. Le cycle menstruel peut changer lorsqu’on vit un grand stress ou changement dans sa vie. Il est possible que l’ovulation soit retardée ou encore, de vivre une ovulation spontanée à n’importe quel moment, sans préavis. Il est donc important de toujours utiliser une méthode de contraception pour prévenir une grossesse imprévue. Par contre, il est important de savoir que lorsqu’on utilise la pilule contraceptive ou une autre méthode hormonale adéquatement, les relations sexuelles sont protégées pendant les menstruations, même s’il s’agit de la semaine d’arrêt.

Oui. Le fait d’avoir une relation sexuelle dans l’eau ne protège pas des grossesses. Si aucune contraception n’est utilisée, il y a des risques de grossesse et d’ITSS.

Oui. Le coït interrompu (ou le retrait) n’est pas un moyen de contraception efficace. Il s’agit d’un comportement à risque, puisque l’éjaculation peut être difficile à contrôler. De plus, le liquide pré-éjaculatoire, sécrété lorsque le pénis est stimulé, peut transporter des spermatozoïdes et il n’en faut qu’un seul pour causer une grossesse.

Oui. L’ovulation arrive AVANT les menstruations. Il y a donc une première ovulation avant les premières règles. On ne sait jamais à quel moment les menstruations vont arriver pour la première fois. Il y a donc des risques de grossesse si les relations sexuelles ne sont pas protégées. De plus, il existe également des risques d’ITSS.

Oui. Il est important que la personne qui allaite utilise une méthode de contraception (ex. : le condom, le stérilet de cuivre ou les méthodes qui contiennent uniquement de la progestérone comme la pilule de progestatif seul, l’implant ou le stérilet hormonal) puisqu’elle pourrait devenir enceinte même si elle n’a pas eu le retour de ses menstruations. Les méthodes mentionnées ci-haut ne devraient pas influencer la quantité ni la composition du lait maternel. Toutefois, l’utilisation du timbre contraceptif, de l’anneau contraceptif et des pilules contraceptives combinées (qui contiennent de l’œstrogène et un progestatif) peut réduire faiblement la quantité de lait produite. Au besoin, n’hésite pas à communiquer avec une consultante en lactation, un.e professionnel.le de la santé (sage-femme, médecin, infirmièr.e). 

L’ovulation peut survenir aussi rapidement qu’à la troisième semaine après l’accouchement vaginal ou par césarienne. 

Attention, la pilule de progestatif seul doit être prise tous les jours à la même heure. Sinon, il y a un grand risque de grossesse.

Non. Il est possible de se procurer la pilule d’urgence, sans ordonnance, directement à la pharmacie (le prix varie selon les assurances médicaments, elle peut être gratuite ou coûter environ 30$). Elle est disponible gratuitement dans certains CLSC, à la clinique des jeunes, à la Clinique de planning à Sherbrooke, auprès d’un.e médecin ou d’un.e infirmièr.e scolaire.

La pilule d’urgence est réservée aux situations d’urgence. Toutefois, aucune limite de sécurité n’a été établie. Elle peut donc être utilisée plusieurs fois. Si on y a eu recours à diverses reprises, il est peut être bon de se demander si la contraception actuelle convient à sa situation et son mode de vie et au besoin, en parler à un.e professionnel.le de la santé. Il existe plusieurs méthodes contraceptives, il suffit de trouver celle qui nous convient pour plus d’efficacité.

Après la prise de la pilule d’urgence, les menstruations devraient survenir dans les 3 semaines suivantes. Si ce n’est pas le cas, il est important de passer un test de grossesse. Pendant l’attente des menstruations, il est important d’utiliser une méthode contraceptive, puisque la pilule d’urgence ne protège pas des relations sexuelles à venir.

Non. La pilule d’urgence agit principalement en retardant l’ovulation. Elle ne met donc pas fin à la grossesse si celle-ci est déjà débutée. Il est important de distinguer pilule d’urgence et pilule abortive (avortement par médicaments).

En cas d’oubli.s de notre pilule, la procédure à suivre diffère selon la durée de l’oubli (ex. moins de 24h, ou plus), du nombre de comprimés oubliés ainsi que du moment où cela s’est produit (1er, 2e, 3e semaine). 

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En cas d’oubli ou de décollement, la procédure à suivre diffère selon la durée de l’oubli ou du décollement (plus ou moins 24h), ainsi que du moment où cela s’est produit (1er, 2e, 3e semaine).

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En cas d’oubli ou d’expulsion, la procédure à suivre diffère selon la durée de l’oubli ou de l’expulsion (plus ou moins 3h), ainsi que du moment où cela s’est produit (1er, 2e, 3e semaine).

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Il faut passer un test de grossesse et recevoir sa prochaine injection dès que possible.

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Ce n’est pas nécessaire de faire une pause de sa méthode contraceptive pour une personne en santé. Prendre une pause peut accroître le risque d’une grossesse non planifiée. La plupart du temps, les contraceptifs hormonaux peuvent être pris de la puberté jusqu’à la ménopause. Il y a toutefois certaines exceptions. Si tu as des doutes ou des inquiétudes spécifiques à ta situation, n’hésite pas à en discuter avec un.e professionnel.le de la santé.

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Des études ont démontré qu’il n’y a aucun lien entre la pilule contraceptive et le gain de poids. Plusieurs personnes commencent à prendre la pilule contraceptive à l’adolescence, période où le corps est en pleine croissance et où la prise de poids est fréquente. Toutefois, si les inquiétudes face à un changement de poids persistent, il est possible de consulter un.e professionnel.le de la santé pour en discuter.

En cas d’effets secondaires, il est recommandé d’attendre 3 mois avant de changer de sorte de pilules ou de méthode contraceptive, car ceux-ci disparaissent ou diminuent généralement après cette période. Par contre, si les effets secondaires sont sévères, il est important de consulter un.e médecin rapidement. Comme les doses et les types d’hormones varient d’une méthode contraceptive à une autre, la majorité finit par trouver celle qui leur convient.

Il est suggéré de combiner la nouvelle méthode avec le condom pendant un minimum de 7 jours pour permettre à la méthode d’atteindre son efficacité maximale et préférablement pendant le premier mois pour s’habituer à l’utiliser correctement.

Certains médicaments et produits naturels peuvent diminuer l’efficacité de la pilule, du timbre et de l’anneau contraceptif. Vérifie auprès d’un.e pharmacien.ne s’il peut y avoir une interaction médicamenteuse qui pourrait diminuer l’efficacité de ta méthode.

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Pour éviter une grossesse imprévue, il est important de continuer à utiliser une méthode contraceptive jusqu’à l’arrêt continu des menstruations pour une période de 12 mois, en plus d’un diagnostic formel de ménopause, confirmé par un.e médecin.

Le partenaire ne devrait pas sentir les fils du stérilet, car ceux-ci sont fins, souples et surtout habituellement coupés afin qu’ils ne soient pas sentis lors de la pénétration. Toutefois, si cela est le cas, un.e médecin ou un.e infirmièr.e peut couper les fils à une longueur plus adéquate.

Lors de la prise d’une méthode hormonale, comme la pilule, le cycle devient artificiel. Si aucune situation n’a diminué son efficacité au cours de la dernière semaine, la méthode de contraception utilisée sera à son maximum d’efficacité et la personne sera protégée lors de sa semaine d’arrêt. Toutefois, aucune méthode contraceptive n’est sûre à 100%.

Leur efficacité a été étudiée et est très semblable à celle de la pilule. Comme il peut être difficile pour certaines femmes de prendre la pilule tous les jours au même moment, l’efficacité est probablement supérieure avec le timbre et l’anneau, puisqu’ils ne nécessitent pas de prise quotidienne.

Oui. Cela est plutôt rare, mais certaines personnes pourraient être gênées par la présence de l’anneau durant les rapports sexuels. Dans ce cas, il est possible de retirer l’anneau pendant un maximum de 3 heures. Par la suite, il sera important de le rincer à l’eau tiède et l’insérer à nouveau.

Au contraire, il est très à risque d’utiliser deux condoms, car la friction entre eux augmente le risque qu’ils se déchirent durant la relation sexuelle. Si on souhaite prendre des précautions supplémentaires et que la possibilité de rupture du condom nous préoccupe, il est préférable de l’utiliser en combinaison avec une autre forme de contraception (ex.: la pilule, le timbre, l’anneau, etc.).

Il existe des condoms sans latex qui peuvent éliminer ce problème. Il est possible de s’en procurer dans les pharmacies ou gratuitement dans plusieurs organismes, dont le nôtre!

Clique ici pour connaître les endroits où te procurer des condoms gratuitement.

Il est préférable d’utiliser un condom plutôt que ne pas en utiliser. Si on utilise un condom dans l’eau, il est important de le mettre avant d’entrer dans l’eau. Par contre, il faut prendre en compte certains éléments:

– D’abord, les produits chimiques (chlore, additifs comme le savon, l’huile de bain ou le bain moussant) présents dans l’eau risquent de briser le condom en affectant le latex;

– Ensuite, l’eau diminue la lubrification, ce qui peut rendre la pénétration douloureuse;

– De plus, il y a un risque d’infection urinaire;

– Le condom risque de glisser;

– Etc.

Il arrive qu’en début de grossesse, certaines personnes continuent à avoir des saignements. Toutefois, ces saignements sont souvent beaucoup moins abondants que les menstruations habituelles. Ces pertes sont généralement sous forme de « spotting » (légères pertes rosées ou brunâtres). Si les saignements ont diminué rapidement ou s’ils ne sont pas comme à l’habitude, il serait important de passer un test de grossesse.

Le nombre de semaines de grossesse est calculé à partir du premier jour des dernières menstruations, et non à partir de la date où tu penses être devenue enceinte. En cas de doute, un.e médecin peut confirmer le nombre de semaines de grossesse.

Si la ligne est visible facilement et qu’elle est apparue dans les délais, cela signifie que tu es enceinte.

Il est suggéré de faire un test de grossesse lors d’un retard menstruel ou 2-3 semaines après une relation sexuelle à risque.

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 La décision finale revient à la personne qui est enceinte.

Parfois, le couple n’envisage pas le même choix face à la grossesse engendrant ainsi un sentiment d’impuissance chez le partenaire. Légalement, celui-ci n’a aucun droit quant à la décision finale. Le partenaire peut toutefois exprimer son souhait face à la grossesse et exprimer son engagement ou non, sans mettre de pression. Il est important que le partenaire puisse faire sa propre réflexion en lien avec le choix à faire.

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Lors d’une grossesse imprévue, 3 choix s’offrent à toi; la garde, l’avortement ou l’adoption.

Clique ici pour en savoir plus sur les différents choix.

Au Canada, l’avortement, également appelé l’interruption de grossesse (IG) est légal depuis 1988. 

Au Québec, la loi ne prévoit pas de délai maximal pour l’accès à l’avortement. Il est donc possible d’y avoir accès tout au long de la grossesse (1er, 2e et 3e trimestre). Le délai maximal diffère d’une région à une autre et dépendamment de la capacité des cliniques, il est possible d’être référé dans une clinique d’une autre région selon le nombre de semaines de grossesse. La pilule abortive, quant à elle, est offerte jusqu’à un maximum d’environ 9 semaines de grossesse selon la région. Pour rejoindre une clinique, contacte-nous et nous pourrons t’y référer.

Lorsque le choix est clair, il faut prendre un rendez-vous à l’endroit où se font les avortements dans ta région (il est également possible d’aller dans une autre région au besoin). Avant d’appeler, il faut s’assurer d’avoir fait un test de grossesse positif, même si la personne est certaine d’être enceinte.
Pour connaître les différents endroits où se font les avortements, n’hésite pas à nous contacter.

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Non, il n’est pas nécessaire de rencontrer un.e médecin pour être référé.e. Il est possible d’appeler directement pour prendre rendez-vous dans une clinique ou un centre hospitalier où se pratiquent les avortements.

Pour connaître les différents endroits où se font les avortements, n’hésite pas à nous contacter.

Le consentement des parents (un seul parent ou tuteur légal) est obligatoire pour les jeunes de moins de 14 ans. Dès l’âge de 14 ans, si la personne ne souhaite pas en parler avec ses parents, elle sera en mesure de signer d’elle-même le consentement à l’intervention. Elle doit toutefois être accompagnée de la personne de son choix pour le rendez-vous de l’intervention. Si tu as besoin d’être accompagnée par une intervenante, n’hésite pas à nous contacter.

Le nombre de rendez-vous peut varier selon le nombre de semaines de grossesse et d’une clinique à une autre. À Sherbrooke, il y a en moyenne deux rencontres. N’hésite pas à nous contacter, nous pouvons t’accompagner pour la ou les rencontres qui ont lieu à Sherbrooke, selon nos disponibilités.

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Pour ce qui est de la douleur, elle varie d’une personne à l’autre, mais elle peut ressembler à de bonnes crampes menstruelles. C’est une petite intervention qui dure 10-15 minutes. Les avortements se font sous anesthésie locale et il est possible de prendre en plus un calmant ou un sédatif.
N’hésite pas à nous contacter, une intervenante peut t’accompagner pour la ou les rencontres qui ont lieu à Sherbrooke, selon nos disponibilités.

Oui. La pilule abortive est la combinaison de deux médicaments, à prendre à 24 heures d’intervalle, et qui est remboursée par la Régie de l’assurance maladie du Québec.
En Estrie, l’avortement par médicaments peut se faire à la Clinique de Planning de Sherbrooke, dans les 63 jours suivant la date du début du retard des menstruations. Avec l’avortement par médicaments, il y a souvent plus de rendez-vous.

Le fait de se faire avorter ne compromet pas une future grossesse. Au Québec, l’avortement est fait de façon sécuritaire par des médecins ayant reçu une formation spécifique. Les risques de stérilité sont très faibles.

L’avortement est gratuit avec la carte d’assurance maladie, mais il y a aussi des possibilités d’arrangement pour les personnes n’ayant pas accès à l’assurance maladie. 

Si la carte d’assurance maladie n’a pas été renouvelée, il est possible de demander un papier temporaire de la RAMQ. Celui-ci ne dure que 10 jours, mais il permet d’avoir accès aux services de santé gratuitement. Toutefois, ce papier ne peut être utilisé qu’une seule fois.
Si tu as un statut de résident permanent, tu peux vérifier pour obtenir la carte d’assurance maladie du Québec en appelant à la RAMQ. Si la demande est acceptée, ils pourront te faire parvenir un papier temporaire de 10 jours te permettant d’avoir un avortement gratuitement.
Si tu as un statut de résident temporaire (touriste, étudiant.e, travailleur.se temporaire, en attente de parrainage final) ou sans statut régularisé, l’avortement n’est pas couvert dans la plupart des cas. Il existe des programmes provinciaux ou fédéraux vous donnant accès à des soins de santé gratuits tout dépendant de votre situation. Pour plus d’informations, n’hésite pas à communiquer avec la RAMQ.